Buddhists regard Western hyperactivity as extremely dangerous because it distances us from our minds and bodies.
In recent weeks I have been through a period of intense fatigue and stress. So intense that it caused me many dizziness, headaches, insomnia, eczema, seizures and other annoyances. I now share the point of view of Buddhists! I am slowly getting out of this period, with difficulty but surely, with some advices that can perhaps help those who wade in the same phase as mine!
Understand and accept
Understand then accept or accept before understanding, choose the formula that suits you best. The important thing is that you accept the phase that you are going through and that you understand it in order to work on it.
You are stressed out, tired, anxious.se … Do not deny it and do not repress it . It happens, we can not always be on top. No one is perfect, and our minds like our bodies are tired from time to time. It is necessary that you « take advantage » of this period and that you allow yourself to tire, then to rest. If your fatigue is not caused by any disease, it is because your body and / or your mind is alerting you: « you have to rest now, otherwise we strike! »
What is the cause of your fatigue? What is stressing you? You must understand the why and how of your fatigue. A family situation irritates you? Your work environment stresses you? A toxic relationship exhaust you? Look for the cause, then, find a solution to no longer having to stay in a toxic environment. If you feel that someone around you is sucking your energy, see it less often. If your children or spouse exhausts you, allow yourself a small vacation alone. If your work is stressful and irritating to you, take time off or ask your doctor to stop you for a few days.
Il est nécessaire de vous écouter et d’agir. Nier le problème ne fera que repousser l’implosion et préparer le terrain parfait pour un petit burn out. STOP ! Vous avez le droit de ne pas être au top. Ecoutez votre corps, écoutez votre esprit, respectez-vous.
Expliquer
Maintenant que vous avez compris d’où venait le problème, que vous avez accepté votre situation physique et/ou mentale et que vous travaillez dessus, prenez le temps d’expliquer à votre entourage ce qu’il se passe (sans entrer dans les détails si vous ne le souhaitez pas). J’ai commis, durant mes semaines difficiles, la plus grosse erreur que je pouvais faire pendant une période de stress et de fatigue : me replier sur moi-même sans prévenir mon entourage que j’en avais besoin. Beaucoup se sont inquiétés pour rien (je gérais la situation), d’autres m’en ont voulu de ne pas donner de nouvelles, et ces situations désagréables ont ajouté un poids de stress aussi gros qu’inutile dans ma situation !
Expliquez à vos proches que vous avez besoin de prendre du temps pour vous, qu’il ne faut pas qu’ils s’inquiètent, que tout va bien se passer. Vous prenez simplement des forces pour repartir sur un bon pied !
Il existe des personnes qui préfèrent gérer les phases difficiles de leur vie seule (c’est mon cas), mais d’autres aiment s’entourer. Pour ces personnes là, n’hésitez surtout pas à demander de l’aide à votre entourage ; les proches sont là pour ça aussi ! Le but n’est pas d’assaillir d’ordre vos êtres chers mais de les questionner sur des éventuelles tâches qu’ils peuvent vous aider à accomplir. Vous préparer un repas un soir, garder vos enfants quelques heures, vous écouter et vous conseiller…
Être indulgent avec soi-même
Ca y est : vous êtes bien avec vous-même, votre entourage a compris qu’en ce moment, vous passiez par une phase fatigante. Il ne manque plus qu’un élément essentiel : l’indulgence. Si vous n’êtes pas indulgent.e envers vous-même, vous ne pouvez prétendre être indulgent.e avec les autres.
Au début, je pensais que j’allais retrouver mon énergie et ma bonne humeur du jour au lendemain, que j’allais être capable d’accomplir des tâches avec autant de rapidité et de facilité qu’avant. Plus je vivais dans ce mensonge, plus je me blessais à essayer d’être parfaite en me heurtant pourtant à mes échecs. Cela écrasait encore plus mon moral et me mettait en boule. J’ai finalement accepté ne pas pouvoir retrouver mon énergie en claquant des doigts et me suis autorisée quelques tâches faciles à accomplir. Ainsi, je ne me mettais pas trop la pression mais pouvais tout de même être fière d’avoir réalisé des objectifs !
Par exemple, sortir au moins une fois dans le week-end (aller à la boulangerie, faire un tour dans le parc, profiter du soleil sur la terrasse…)
Appeler au moins une fois par semaine une personne qui m’est chère et que je n’ai pas vu depuis longtemps.
Me remettre doucement au sport (évidemment, je ne pouvais tenir aussi longtemps qu’avant dans la durée et je savais très bien que je ne pouvais pas faire de prouesses, mais je m’autorisais à donner le meilleur de moi-même sans penser aux résultats).
Ne pas m’en vouloir si je rate un réveil, si j’éprouve des difficultés à m’endormir un soir, si je suis tête en l’air, si je n’ai pas envie de sortir / si je ne suis pas motivée pour une quelconque activité que j’aimais auparavant…
Ces petits objectifs peuvent paraître insignifiants mais ils représentent de réelles montagnes lorsque l’on passe par une phase de fatigue ou de stress. Pensez-y !
Se faire plaisir
Une fois que tous ces ingrédients sont réunis, vous pouvez ajouter la cerise sur le gâteau : vous faire plaisir ! Pratiquez des activités qui vous plaisent, qui vous boostent le moral, lancez-vous. La fatigue peut également être provoquée par la monotonie, les tâches répétitives, votre esprit se fatigue et votre corps suit. N’hésitez donc pas à pimenter votre quotidien, à faire plaisir à votre corps et votre esprit. Rappelez-vous à quel point nous sommes petits par rapport à l’univers, mais combien chacun de nous est important à son échelle. Prenez du recul sur les soucis quotidiens et chouchoutez-vous pour redistribuer à cette terre l’énergie positive qu’elle mérite, et que vous méritez aussi.
J’espère que cet article pourra vous aider à surmonter des phases de fatigue ou de stress. Relaxez-vous, respirez bien, et vivez heureux.
A très bientôt,
Céline.